Beaucoup de monde pourrait me jalouser

Pour ces être qui m’ont entourée

Je sais que j’ai vraiment de la chance

Je m’en rends compte quand j’y pense

On me dit que j’en parle beaucoup

Mais c’est parce qu’ils valent vraiment le coup

 

Ces personnes sont vraiment supères

Et franchement j’en suis très fière

Vous allez me croire aveuglée par l’amour

Mais même si elles resteront en moi toujours

Je vous assure qu’il n’y a pas que moi

Fréquentez les et on verra

 

Ce sont de merveilleux artistes

A eux quatre rien ne résiste

Avec chacun leurs points forts

Ils transforment la vie en or

Je n’échappe pas à leur douceur

Toujours ils sont là pour mon bonheur

 

Je leur dédie cette chanson

A ces êtres pleins de passion

Qui ont su à moi et mes frères

Nous construire un univers

Merci de nous avoir appris la vie

Tout en respectant toujours nos envies

 

Merci Michel merci Catherine

De nous offrir plus qu’une vitrine

Merci Jean merci Michelle

Grâce à vous la vie est belle

A mes parents et grands-parents

J’offre ces mots amoureusement                                                        

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Chanson écrite le 7 Mars 2009 alors que mon coeur rend bêtement et inutilement mon corps malheureux

 

Ce titre est le contenu du poème

Rien

Parce qu’en fait il n’y a pas de problème

Rien

 

Mourir pour ne plus me poser de question

Plus rien

Vivre et il me répond

Rien

 

Mon corps me fait je ne sais quoi

Rien

Attendre avec le temps et il se passera

Rien

 

Car en fait je comprends

Rien

En effet le temps passe et j’apprends

Rien

 

Avec l’amour je perds

Rien

Autant que j’avance depuis hier

Rien

 

Peur d’y retourner pour retrouver

Rien

Envie d’y aller pour écouter

Rien

 

Mon cœur et mon corps comprennent

Rien

Ce que ma raison amène

Rien

 

Je suis perdue pour

Rien

Je perdue contre

Rien

 

Eperdument amoureuse je vois

Rien

Je me rend malheureuse pour…

Rien

 

Non, pas pour toi, sinon je ne serais qu’heureuse

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Poème écrit le 7 Mars 2009

 

Un mauvais réveil

Un corps fatigué

Une mère qui toujours veille

A être là pour m’écouter

 

Plaintes surfaites

Enervement inutile

Je suis perdue en fait

Dans des problèmes futiles

 

Relecture de mes cours

Ressenti de mon ventre

Marre de le trouver lourd

Si je m’écoute je m’éventre

 

Descente de la rue

Achat des médecines

Traversée de l’avenue

Recherche et je m’incline

 

Ce livre sur les écorces

Cadeau d’anniversaire de mon père

Je le tiens je sens sa force

Retard dont je suis fière

 

"Est-ce pour vous ou pour offrir ?"

"C’est pour un cadeau"

Et de le voir si délicatement le couvrir

Je me suis sentie au chaud

 

Je me suis laissée envahir

Par cet émerveillement

Presque plus envie de partir

"Merci beaucoup" je lui dis pourtant

 

En effet merci beaucoup pour cet instant

Ce cadeau fait sans le savoir

Je quitte la librairie en pleurant

Mais bien sûr il n’a pas pu le voir

 

La force ne vient pas du livre

Elle vient simplement de la vie

De cette personne dont la présence m’enivre

Que j’ai failli perdre et qui sourit aujourd’hui

 

Je ne sais si quelqu’un peu comprendre

Quel plaisir ça m’a rappelé…

Celui de seulement à nouveau pouvoir entendre

Sa voix grave avant d’aller me coucher

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Poème écrit le 3 Mars 2009, en pensant à Guillaume L


Je ne sais que dire

D'autre que tu me manques

Je ne sais qu'écrire

Plus de mots dans ma banque

 

Une pensée qui persiste

Insensée

De moins en moins j'y résiste

Mon corps est de ton côté

 

Si seulement il n'y avait que lui

Je pourrais t'oublier

Mais c'est mon coeur qui lui dit

Or je ne sais le contrer

 

Une caresse contre ma peau

Des lèvres dans ton cou

Deux bras dans ton dos

Un coeur qui fond sur le coup

 

Je tente de me dire que c'était un rêve

Et qu'il n'y aura jamais de Nous

Car face à cette douceur trop brève

Ma raison est restée plus forte que tout

 

Elle t'a répondu que je ne voulais pas de toi

Alors que mon coeur s'est rempli d'espoir

Que mon corps m'a hurlé de rester dans tes bras

Du coup tous deux me le rappellent chaque soir

 

Ma raison ne sait plus que faire

Perdue entre toi et ces deux moi

J'aimerais cesser cette guerre

Dont seul l'amour reste roi

 

Elle cherche à diminuer ton emprise

Afin que je ne souffre jamais

Mais mes souvenirs me grisent

Et ton influence renaît

 

Je ne sais que te dire

D'autre que tu me manques

Je ne sais qu'écrire

Plus de mots dans ma banque

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Poème écrit le 7 février 2009 pour Guillaume L

 

Toujours des envies

Mais plus de peurs

Seule m’importe la vie

Peu m’importent mes erreurs

 

J’ai compris que pour être bien

Il ne faut pas chercher la perfection

Il faut se contenter d’un rien

Et surtout aimer nos actions

 

Faire plaisir autour de soi

Respecter les gens

Etre en accord avec sa foi

Profiter du présent

 

J’ai appris à aimer sans compter

J’ai donc tout ce qu’il faut

Avec ça je peux toujours me relever

Trouver toujours le monde beau

 

Partage mon monde s’il te plait

Je pense à toi sans cesse

Et si tu m’aimais je saurais

Accepter tes caresses

 

Les accepter mais bien sûr

Te donner ce qui m’appartient

T’aimer sans mesure

Pouvoir masser tes reins

 

Mais je souhaiterais alors

Que tu arrêtes de t’empoisonner

Que tu oublies à jamais la mort

Pour être sure de te retrouver

 

Le monde est magnifique

A nous de nous en émouvoir

La vie peut être magique

Il suffit de le vouloir

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Ecrit le 7 Février 2009 pour Guillaume L

 

Le monde est gris on le sait

A tout instant

Plus ou moins pâle selon les faits

Il est composé de noir et de blanc

 

A nous de décider

A chaque instant

Si pour y évoluer

On choisi le noir ou le blanc

 

Tout le monde aime naturellement le blanc

Mais le noir apparaît partout où on regarde

Alors on décide de mettre un voile devant

Se droguer parce que la mort nous tarde

 

Un voile qui semble l’éclaircir

Qui le rend plus agréable

Qui nous fait oublier notre désir

De le quitter pour devenir sable

 

Ce voile peut être un voile de fumée

Qui vas nous masquer l’immonde

Ou un voile de liberté

Qui va nous ouvrir à la vie de ce monde

 

Le premier est un poison

Qui détruit le corps lentement

Le second est une révélation

Qui nous remplis de bonheur doucement

 

Apprendre à s’ouvrir à la beauté

Toujours penser à aller mieux

Rechercher comment se réconforter

Ainsi que tout ce qui nous rend heureux

 

Voilà une drogue qui rend la vie belle

Appelez-là amour si vous le souhaitez

Car à chaque fois qu’on lui est fidèle

Tout nous envahit pour nous enivrer

 

Elle ne coûte qu’une pensée

Et est toujours à notre porte

Mais il faut s’y accrocher

Car la peur fait qu’elle s’exporte

 

Choisi ta vie et ton chemin

Moi j’ai élu gratuité et liberté

On est toujours maître de son destin

Voir la lumière du monde et aimer ce dernier

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Ecrit le 24 jenvier 2009, pour Guillaume L

 

Envie de te connaître

Peur de te blesser

 

Envie de t’approcher

Peur de me heurter

 

Envie de te fuir

Peur de m’oublier

 

Envie de te sourire

Peur de me trahir

 

Envie de te faire rire

Peur de m’attacher

 

Envie de t’encourager

Peur de t’influencer

 

Envie de t’emmener

Peur de te perdre

 

Envie de te découvrir

Peur de m’éblouir

 

Envie de jouer

Peur de m’imposer

 

Envie de courir

Peur de me retourner

 

Envie de te serrer

Peur de me tromper

 

Envie de te rendre heureux

Peur d’échouer

 

Envie de te regarder

Peur de me perdre

 

Envie de t’effleurer

Peur de t’aimer

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Ecrit le 24 Janvier 2009

Je suis une abeille, tu es un homme donc une araignée. Je veux te découvrir. Je m’approche. Je me pose sur ta toile et m’y accroche. Alors j’essaie de te fuir, mais je ne le peux déjà plus. Je suis prisonnière. Ensuite tu t’approches de moi, un sourire aux lèvres, sûr de toi. Je suis scotchée. Tu me frôles et je frissonne. Puis tu me serres et je m’abandonne. La partie est finie. Tu as gagné. Je me sens me vider de ma substance. Plus de matière grise. Puis mon corps se laisse faire, abandonné par la raison. Alors je t’aime sans équivalent. Tu t’enroules autour de mon corps qui en redemande, je ne peux plus rien depuis bien longtemps. Juste envie de rester dans tes bras. Puis tu t’en vas et me laisse là, enroulée dans un film de souvenirs dont je ne sais me sortir…

Voilà. Après avoir vécu ça, je suis restée longtemps abandonnée sur une toile. Prendre le temps de me reconstruire. Et quand je suis enfin repartie à la recherche des fleurs de l’amitié, celles qui rendent ma vie belle, alors je me suis promise de ne plus côtoyer les araignées. Promesse dure à tenir. Je suis sensible au regard, or une araignée a deux paires d’yeux. Quand elles me regardent toutes les deux, je n’ai plus qu’envie de me poser sur sa toile pour m’en approcher…
                                                                                                                                                                                                                                                            http://dalya.cowblog.fr/images/CS2.jpg

Le 27 novembre 2008, pour mon père qui était à l'article de la mort à l'hôpital...

Regarde le plafond s’il te plait

Je sais que tu passes ta journée à le regarder

Mais regarde-le une fois encore et essaie

De contempler ce que par mes mots j’y ai dessiné

 

J’y ai envoyé un soleil

Mais pas un soleil éblouissant

Juste un soleil qui t’éveille

Un grand soleil tout blanc

 

Le blanc est la couleur du druide

Celle du sage guérisseur

Couleur de la Lune limpide

Qui veille sur toi à chaque heure

 

Mais tu sais que le blanc

Est un mélange de couleurs

Et je te demande maintenant

De t’ouvrir à leurs valeurs

 

Le rouge est la couleur du feu

Et bien sûr celle de l’amour

C’est une couleur qui rend vigoureux

Et qui donne envie de vivre chaque jour

 

Le jaune est la couleur de la lumière

Celle du renouvellement

Couleur de l’entrain et de l’intuition claire

De la jeunesse et de l’audace souvent

 

Le vert est la couleur de la nature

Douée d’un pouvoir de régénération

Un peu de lumière et c’est reparti pour l’aventure

Couleur de l’espoir et des bourgeons

 

Le bleu est la couleur de l’immortalité

De la justice et de la vérité éternelle

Il rempli d’équilibre et de sérénité

Symbole de la spiritualité il rend la vie belle

 

Le violet est la couleur de l’union

Il te rappelle que toujours tu es dans nos pensées

C’est la couleur de l’identification

Symbole de tendresse et de douceur mélangées

 

Ce soleil je l’ai mis là pour toi

Quand tu es éveillé ressens la force de ses rayons

Car toute cette puissance est en fait en toi

Crois en ton corps et viendra sa guérison
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Poème écrit le 6 Novembre 2008, pour Valentin

 

Je ne te comprends pas

Pourquoi sembles-tu toujours triste

Je ne peux continuer à aller vers toi

Parce qu’en moi rien ne résiste

 

Je t’apprécie c’est sûr

Mais je me perds dans tes jeux

En toi rien ne me rassure

Car je te prends trop au sérieux

 

D’où te viens cette agressivité

Pourtant il te reste ce sourire

C’est lui qui me fait venir vers toi en vérité

Lui qui me donne envie de te découvrir

 

Il me laisse imaginer un peu de joie de vivre

Une certaine ouverture d’esprit

Cachée par cet ego qui te rend ivre

N’y aurait-il pas une grande sympathie

 

Mais ta réactivité me repousse violemment

Dès que je dépasse cette limite qui est tienne

C’est rare quand je m’y attends

Et alors il faut que je me retienne

 

Car alors j’ai envie de disparaître

Mais je cherche à comprendre en quoi je t’ai touché

Afin qu’un jour peut-être

Je puisse te parler sans t’offenser

 

Serait-ce mes défauts qui te dérangent

Dans ce cas il ne me reste qu’à t’oublier

Car même s’il est possible que je change

Je manque de temps pour pouvoir tous les corriger

 

Pourtant j’aurais apprécié te connaître

Pourquoi t’ai-je croisé je n’en sais rien

Peut-être pour qu’une fois de plus je puisse l’admettre

Que je ne dois pas m’attacher aux humains
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