Poème écrit le 6 Novembre 2008, pour Valentin
Je ne te comprends pas
Pourquoi sembles-tu toujours triste
Je ne peux continuer à aller vers toi
Parce qu’en moi rien ne résiste
Je t’apprécie c’est sûr
Mais je me perds dans tes jeux
En toi rien ne me rassure
Car je te prends trop au sérieux
D’où te viens cette agressivité
Pourtant il te reste ce sourire
C’est lui qui me fait venir vers toi en vérité
Lui qui me donne envie de te découvrir
Il me laisse imaginer un peu de joie de vivre
Une certaine ouverture d’esprit
Cachée par cet ego qui te rend ivre
N’y aurait-il pas une grande sympathie
Mais ta réactivité me repousse violemment
Dès que je dépasse cette limite qui est tienne
C’est rare quand je m’y attends
Et alors il faut que je me retienne
Car alors j’ai envie de disparaître
Mais je cherche à comprendre en quoi je t’ai touché
Afin qu’un jour peut-être
Je puisse te parler sans t’offenser
Serait-ce mes défauts qui te dérangent
Dans ce cas il ne me reste qu’à t’oublier
Car même s’il est possible que je change
Je manque de temps pour pouvoir tous les corriger
Pourtant j’aurais apprécié te connaître
Pourquoi t’ai-je croisé je n’en sais rien
Peut-être pour qu’une fois de plus je puisse l’admettre
Que je ne dois pas m’attacher aux humains