Ecrit en 2005, pendant les vacances de février pour une amie (malgré les accords qui simplifiaient au niveau des rimes)
Elle te prend au dépourvu
Et ne crie jamais gare
Comme ça, un jour, tes amis tu ne vois plus
Et là, en toi elle se gare
Quand elle est là, elle te rend las
Elle te fait regarder ta montre
Tu regardes le temps qui passe
Attendant qu'un proche il te montre
Mais il ne te montre personne
Car le temps ne montre rien
Et là elle t'emprisonne
T'empêchant de suivre ton chemin
Ton chemin, qui, comme tu le sais
Est basé sur une pensée
Une pensée qui est libre comme il te plait
Et qui sur rien n'est fixée
Mais elle la fixe sur tes amis qui ne sont pas là
Car ils sont chez eux
Mais chez eux c'est loin te toi
Et inconsciemment elle t'empêche d'être heureux
Mais cette solitude, tu peux la contrer
En sachant que tes amis pensent à toi
Tu ne la laisses pas s'installer
Ne lui permettant pas de prendre ta joie